
Dans la pénombre de son manufacture, le calligraphe impérial préparait ses encres de près. Chaque compétence tracé sur le feuille devait refléter l’harmonie impécable entre l’esprit et la index, un accord très vieux enseigné dans les établissements scolaires de l’Empire. Ses manuscrits étaient qui a pour destin à la cour, où les poèmes et les récits glorifiaient les exploits des séculaires cavaliers. Mais cette nuit-là, à ce moment-là qu’il s’apprêtait à relire son emploi de la veille, une étrange angoisse s’empara de lui. Les caractères n’étaient plus les mêmes. Les messages qu’il avait tracés avec une rigueur inégalée avaient changé d’eux-mêmes. Le lai qu’il avait texte sur la victoire d’un général populaire parlait dès maintenant d’un recrutement encore étranger, avec lequel la jour était inscrite… mais qui n’avait pas encore eu repère. Il passa ses soi sur le carton, vérifia l’encre, chercha une raison scientifique. Avait-il déboire relu son texte ? Mais il se souvenait parfaitement des signes qu’il avait tracés. Pourtant, ils s’étaient accrus. Il savait que certains faisaient la voyance par l’encre, un modèle d’écriture ultime où les idéogrammes formaient des signaux là d’un autre entourage. Il avait immensément réfléchi que ces récits étaient du communauté de la superstition. Mais comment dire ce qu’il voyait ? Si l’encre pouvait c'est pourquoi évoluer marqué par ses yeux, cela signifiait que n'importe quel mot qu’il posait sur le papier pouvait être influencé par une force invisible. Peut-être que le lendemain lui-même utilisait sa plume pour réécrire votre cours. Il pensa aux visionnaires consultés par la cour. Certains affirmaient que seule la meilleure voyance par mail pouvait décodifier arcanes cachés du destin. Mais lui, il n’avait nul besoin d’interprétation. Il voyait les évolutions se manifester par-dessous ses yeux. Une seule état lui vint dans ces conditions à l’esprit : Si l’encre modifiait le destin, donc en bougeant ses dossiers, pouvait-il aussi revoir le futur du nation ? Il trempa son pinceau dans l’encre, la index tremblante. Chaque mot qu’il écrirait à l'heure actuelle ne serait plus exclusivement un affirmation du passé. Il deviendrait peut-être le premier architecte d’un destin encore indécis.
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